Je vais mettre quelques commentaires ici, en attendant la suite des photos
Tout d’abord, je dois tirer mon chapeau aux personnes qui m’ont aidée à organiser ce voyage : Terra Andina Perou, cela a été, également pour eux, un vrai défi !!
A notre arrivée à Lima nous avons été accueillis par un chauffeur et une représentante de l’agence. Ceux-ci nous ont conduit à notre hôtel, tout en nous expliquant un peu le déroulement du voyage et la vie dans la ville de Lima.
Lima compte 8 millions d’habitants et est recouverte par le brouillard 8 mois par ans !!
La circulation y est très dense et, malheureusement, certains quartiers sont déconseillés aux touristes.
Nous logeons dans le quartier de Miraflores, très joli quartier et totalement sécurisé. L’hôtel est agréable et le personnel charmant.
Afin de nous remettre du voyage, nous avons la soirée et la journée du lendemain libres, et nous profitons pour nous promener dans ce quartier et gouter les 1ères spécialités : la boisson nationale le Pisco saur et la ceviche, plat de poissons crus, marinés au citron.
Comme c’est l’hiver, la température est assez fraiche et nous mangeons avec nos vestes, sur une terrasse.
Le surlendemain, notre chauffeur vient nous chercher pour nous accompagner à Paracas.
J’ai été obligée de faire de rapides progrès en espagnol, celui-ci ne parlant pas le français, mais tout c’est bien passé, notre chauffeur ayant fait l’effort de parler lentement.
Nous faisons 260 KM, et une fois sortis des faubourgs de Lima, le paysage se désertifie, seuls les abords des villages sont fleuris et arborés.
Sur une grande partie, il y a également une multitude d’élevages de poulets, le poulet étant souvent consommé au Pérou.
A midi, nous nous arrêtons dans un petit restaurant et je goute, pour la 1ère fois, du jus (frais) de maïs noir, c’est excellent et désaltérant !!
Dans l’après midi, nous arrivons près de Paracas et visitons la réserve : un immense désert de sable est de pierres, bordé et fouetté par le Pacifique.
Au total, la réserve couvre une superficie de 335'000 hectares dont une partie est marine.
La partie désertique est impressionnante, et le risque de s’y perdre est grand : les pistes sont souvent balayées par le vent et doivent être entretenues.
Nous allons ensuite rejoindre notre petit hôtel, situé dans le petit port de Paracas.
De la, nous prenons un petit bateau à moteur afin de rejoindre la réserve marine des iles Balestas.
Le capitaine du bateau a à cœur de m’aider à m’installer confortablement et son aide est précieuse !
Comme j’ai oublié de vous mettre une photo du chandelier, la voici maintenant
Nul ne sait qui l’a dessiné, et toutes les hypothèses possibles fusent : un dessin du style des lignes de Nazca ou fait par une ancienne civilisation datant de 3000 ans avant notre ère, ou un signe de ralliement pour les pirates espagnols.
15/08/2010
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1 commentaire:
Merci pour cet intéressant compte-rendu du voyage!
Ça doit être vraiment spécial, le jus de maïs noir!
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